Un l’atelier de lancement du « Projet : Appui aux acteurs de l’agropastoralisme pour le renforcement de la résilience en Assaba » s’est déroulé du 18 au 19 janvier 2017 à Kiffa à la maison de l’hôte dont l’objectif est de présenter le programme à l’ensemble des acteurs qui seront impliqués directement ou indirectement dans les activités de mise en œuvre.
Les acteurs principaux conviés à l’atelier sont :
Les autorités administratives et locales (Wali et les Hakems de Moughataas concernées), les services techniques de l’état (8 délégués régionaux et 15 inspecteurs départementaux), les maires des 26 communes, les membres du consortium, l’équipe du projet et la société civile.
Au cours de la 1ière journée de l’atelier de lancement des Diagnostics du RIM-RAP et pendant la séance accordée aux partenaires pour se faire présenter, l’ONG Ecodev a été bien présentée, d’ailleurs déjà largement connue. La présentation a suscité quelques « réactions » demandant à ne pas s’attarder sur le passé et prévoir plutôt la contribution de l’ONG dans la mise en œuvre du projet RIMRAP.
En fin de la première journée et lors du management des opérations du lendemain, il a été demandé aux leaders thématiques de faire une brève présentation, en plénière, de l’outil de diagnostic dont ils ont la charge. Ce travail de synthèse a été fait avec la collaboration active des chefs de zones et expédié, dans les délais, au management de l’atelier.
Au cours la seconde journée de travail, et après les présentations en plénière, les participants se sont organisées en quatre (4) groupes de travail à charge, pour chaque leader thématique d’en animer un (celui pour lequel il est en charge).
L’organisation interne d’Ecodev (présente à travers huit membres) est d’animer la thématique dont elle est en charge (DL) et être présente au niveau des autres groupes pour mieux s’approprier les différentes thématiques qu’elle aura à appliquer au niveau de ses zones d‘intervention. Cette présence a été réussie pour deux des thèmes portés par les partenaires : Groupe Filières agropastorales (Sow Samba Cheikhna) et Gestion des Ressources Naturelles (M’Bareck et Jaber).
A la restitution des travaux, tous les groupes ont suggéré des « apports », qui sont restés dans l’ensemble modestes.
